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Attribution de 16 bourses de recherche "Bernard Bigot"


Publié le 9 octobre 2024

Le consortium de recherche EUROfusion vient d'attribuer seize bourses de recherche à de jeunes chercheurs. Durant deux ans, ces scientifiques talentueux vont poursuivre des études essentielles pour le développement de l'énergie de fusion en Europe.

Le programme Bernard Bigot Researcher Grants, qui porte le nom du précédent directeur général d'ITER Organization, soutient l'excellence de la recherche européenne mobilisée sur une grande variété de sujets. Qu'il s'agisse de questions de physique fondamentale ou d'explorer de nouveaux concepts en passant par la mise au point de modèles mathématiques ou de procédés technologiques innovants.

Par l'attribution de ces bourses, EUROfusion entend accélérer ses progrès dans le domaine de l'énergie de fusion actuellement stimulé par un foisonnement d'idées et de projets impulsés par la communauté scientifique autour d'ITER et au-delà d'ITER. Leurs résultats viendront irriguer les réflexions visant à construire une future centrale à fusion. Ils serviront également à développer de nombreuses applications industrielles bénéficiant aux secteurs de la santé, de l'aérospatiale ou encore de la métrologie et de l'optique.

Ces sujets de recherche ainsi subventionnés impliquent 11 instituts européens répartis en Espagne, Allemagne, France, Danemark, Italie, Suisse, Ukraine, Finlande et aux Pays-Bas.

Sont nominés :

  • Pilar Cano Megias, université de Séville en Espagne.
  • Robert Davies, Haowei Zhang et Baptiste Frei, Max-Planck-Gesellschaft (MPG) en Allemagne.
  • Emil Fransson, Aix-Marseille Université en France.
  • Henrik Järleblad, université technique du Danemark.
  • Oscar Putignano, institut sur les sciences et technologies des plasmas en Italie.
  • Adriano Stagni, laboratoire de recherche Consorzion RFX implanté à Padoue en Italie.
  • Andreas Theodorou, Max Planck Institute en Allemagne.
  • Simon Van Mulders, école polytechnique fédérale de Lausanne en Suisse

  • ​Yuliia Volkova de l'Institut national de physique et de technologie de Kharkiv en Ukraine
  • Maria Vrellou, Institut de technologie de Karlsruhe (KIT) en Allemagne
  • Tomi Vuoriheimo, de l'université d'Helsinki en Finlande
  • Tijs Wijkamp, institut de recherche fondamentale sur la fusion Pays-Bas (DIFFER)


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